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Netanyafolie le blog
15 juillet 2014

DE METULLA AGENCY -Journal de guerre (info # 011407/14) [Breaking News] © Metula News Agency

 

Metula News

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Journal de guerre (info # 011407/14) [Breaking News]

© Metula News Agency

 

Métula, lundi, 21h00, 20h00 à Paris

 

Situation

 

Septième jour de Rocher Inébranlable

 

Aujourd’hui à 16 heures, on comptabilisait plus de 1 050 roquettes tirées sur Israël depuis le début du conflit, dont 200 ont été interceptées par le Dôme de Fer. 780 de ces roquettes ont atteint des zones inhabitées, et une vingtaine a atterri à Gaza ; l’une d’elles a privé d’électricité plus de 70 000 Gazaouis.

 

Depuis minuit, 75 roquettes ont été tirées sur l’Etat hébreu, 17 de ces roquettes ont été interceptées.

 

L’Armée de l’air israélienne a neutralisé 12 terroristes impliqués dans le lancement de fusées et détruit plus de 80 cibles militaires.

 

Depuis lundi dernier, Tsahal a frappé approximativement 1550 objectifs, dont 63 dépôts et fabriques d’armes, 73 bases des milices, 210 tunnels souterrains et 770 lanceurs de roquettes. L’Armée estime avoir neutralisé une centaine de miliciens islamistes.

 

Hier, Tsahal a autorisé le transfert de 500 unités de sang vers les hôpitaux de Gaza.

 

Plus joyeusement, à l’occasion du 14 juillet, l’ambassade de France a averti les Israéliens qu’elle allait tirer un grand feu d’artifice, que les Télaviviens sont priés de ne pas confondre avec des roquettes djihadistes.

 

 

Avion sans pilote du Hamas abattu

 

Ce matin, Tsahal a identifié et intercepté un drone de fabrication iranienne qui avait été lancé depuis la bande côtière.

 

Les islamistes disposeraient, à les en croire, de trois variantes de cet appareil, l’une destinée à des missions d’espionnage, la seconde à des tirs de roquettes ou de missiles, et la troisième à des attaques suicides.

 

dronehamas.jpg

Le drone sur une photographie d’écran de la télévision du Hamas

 

Depuis le début de l’opération Rocher Inébranlable, les miliciens de Gaza ont tenté d’envoyer deux autres drones mais ils ont perdu le contact avec ces engins peu après leurs décollage.

 

 

Golan-Syrie

 

La nuit dernière, l’armée du régime syrien a tenté de s’attaquer au canon antiaérien à l’hôpital de campagne installé par Israël sur la frontière internationale (ligne alpha). Les médecins de ce centre médical soignent indifféremment les blessés de la Guerre Civile ainsi que les malades syriens, et ils aident les mères à mettre au monde leurs enfants.

 

Une unité de Tsahal spécialisée dans le lancement des missiles Tamouz a immédiatement répliqué visant le poste de commandement ennemi, de même que les véhicules militaires responsables de l’agression.

 

La Ména est en mesure de préciser, en exclusivité pour ses lecteurs, que les cibles ont été atteintes et que les blindés syriens ont été détruits. Les évaluations qui nous sont parvenues des rangs de la résistance à Béchar al-Assad font état de sept à dix morts et de plusieurs blessés suite à la réplique israélienne.

 

 

Première technologique

 

Cette après-midi, les miliciens de Gaza ont tiré un missile antichar en direction d’un Merkava qui stationnait non loin de la barrière de sécurité.

 

Le système Méhil Rouakh [Lit. manteau coupe-vent] a provoqué l’explosion du missile avant qu’il n’atteigne le blindé.

 

C’est la première fois, à notre connaissance, qu’un système de défense active installé sur un blindé provoque l’explosion prématurée d’un missile en situation opérationnelle.

 

Le Méhil Rouakh est un autre développement technologique israélien dont le principe de fonctionnement consiste, une fois qu’une menace est repérée par un radar monté sur le char, à envoyer des paillettes de métal entre le véhicule blindé à protéger et le projectile. Le projectile explose au contact des paillettes et le char est épargné.

 

Il est de notoriété publique que l’industrie militaire israélienne propose désormais d’installer le Méhil Rouakh sur des véhicules légers et non blindés comme des Jeeps ou des ambulances.

 

 

Exécutions à Gaza

 

Le Mouvement de la Résistance Islamique a procédé dans la journée à de nouvelles exécutions de soi-disant collaborateurs avec Israël.

 

Ces personnes sont jugées coupables à l’issue d’une parodie de jugement et immédiatement exécutées. Selon Sami el Soudi, près de la moitié des malheureux n’ont jamais transmis d’informations à Tsahal.

 

Le Hamas a fourni des images de ces exécutions mais nous nous refusons de les publier dans nos colonnes en raison des circonstances dans lesquelles ces photographies ont été prises et du respect dû aux suppliciés.

 

 

Tirs de roquettes du Liban

 

Pour la deuxième journée consécutive, des roquettes ont été tirées hier soir sur la région nord-ouest de l’Etat hébreu, dans la zone Naharya-Shlomi.

 

Ces tirs n’ont fait ni dégâts ni victimes, contrairement à ceux de la journée de samedi, durant laquelle une Katioucha avait heurté un entrepôt agricole, le détruisant presque dans sa totalité.

 

Immédiatement après ces attaques, l’artillerie de Tsahal est intervenue, tirant quelques dizaines d’obus en direction des lieux d’où les roquettes étaient parties.

 

Ceux-ci se situent au sud de la ville libanaise de Tyr, région dans laquelle on trouve les plus grands camps de réfugiés palestiniens au pays des cèdres.

 

A la Ména, nous sommes convaincus que le Hezbollah est étranger à ces provocations. L’organisation terroriste chiite du cheikh Nasrallah est trop empêtrée dans la Guerre Civile syrienne pour se permettre de risquer une confrontation avec Israël.

 

On imagine cependant que les tirs qui ont visé le nord-ouest de l’Etat hébreu ont été réalisés avec l’assentiment tacite du Hezb, qui contrôle hermétiquement le sud du Liban.

 

D’autre part, les forces de sécurité de Beyrouth, désireuses d’éviter l’embrasement de la frontière, œuvrent afin de retrouver et d’appréhender les coupables de ces agressions.

 

 

Manifestation à Paris

 

Quelques 20 000 émeutiers, provenant à plus de 90% de l’immigration maghrébine, ont participé à une manifestation violente en faveur de la Palestine aux abords de la place de la Bastille.

 

Ils se sont dirigés vers les synagogues de la Roquette et de Tournelles, armés de battes de base-ball, de barres à mine et de couteaux.

 

Aux cris de "mort aux Juifs", ils ont tenté de prendre d’assaut la synagogue Don Isaac Abravanel, rue de la Roquette, dans laquelle se trouvaient plusieurs personnes. Celles-ci ont probablement échappé au lynchage grâce à l’intervention de membres de groupes de protection de la communauté israélite, qui se sont battus avec les émeutiers. On dénombre huit blessés selon la police, deux parmi les défenseurs de la synagogue et six dans les forces de l’ordre.

 

Au moment de l’attaque de la synagogue et selon des témoins sur place, il n’y avait que sept policiers pour protéger les lieux. Ces derniers ont assisté les membres du groupe d’auto-défense ne pouvant seuls faire face à la multitude.

 

Les renforts de CRS ne sont parvenus sur les lieux que 10 minutes plus tard.

 

Au vu de la composition de cette manifestation, on craint à Métula un affrontement communautaire en France entre des extrémistes musulmans et l’ensemble de la communauté israélite. Lors des incidents d’hier, l’existence de personnes appartenant à cette communauté a été directement menacée.

 

Cette agression porte d’autre part un coup fatal à la revendication qui avait cours dans certains milieux français, selon laquelle on pouvait s’attaquer à l’Etat d’Israël sans être antisémite. Ce, car les gens agressés hier n’étaient pas israéliens mais français.

 

Le président François Hollande ainsi que le premier ministre Manuel Valls ont dénoncé les auteurs des événements d’hier, en se bornant toutefois à annoncer que la France s’opposait à l’importation du conflit israélo-palestinien sur son territoire.

 

Ici nous sommes presque certains que ces mots d’apaisement ne suffiront pas à calmer les esprits. On se situe, même si le gouvernement et les media de l’hexagone font tout leur possible pour le dissimuler, dans une opposition que l’on pourrait qualifier d’ethnique si les Juifs et les Arabes n’étaient pas tous des sémites. Mais ethnique, dans le sens ou les agresseurs musulmans agissent sur la base de leur appartenance communautaire singulière, d’une philosophie de vie particulière, de leurs préceptes religieux et du nationalisme arabe.

 

Cette situation, inflammable à l’extrême, est largement encouragée par une presse bleu-blanc-rouge, dont nous dénonçons l’irresponsabilité collective depuis maintenant plusieurs années.

 

Pour ne parler que des incidents d’hier, aucun journal main stream, aucune chaîne TV n’a osé décrire la réalité de ce qui s’est passé. Nous pensons particulièrement aux cris de "mort aux Juifs", "mort aux blancs", au fait que de nombreux émeutiers étaient armés et qu’ils ont tenté de prendre d’assaut une synagogue, mettant clairement en danger la vie de ceux qui l’occupaient.

 

La dépêche de l’AFP, à cet égard, largement relayée par les media tricolores, constitue logiquement une justification de la manifestation, parsemée de citations du genre "ils [les Israéliens] bombardent des innocents… ils attaquent la population civile … etc.".

 

On évoque dans cette dépêche le soutien total des participants "à la lutte du peuple palestinien", on cite des gens affirmant : "Je suis venu pour dire non à ce massacre", on relate un "début d’échauffourées", on importe des cartes et des graphiques de la guerre Israël-Hamas, on  ment en parlant de "heurts dus à de petits groupes de jeunes gens qui ont été facilement contenus", mais on ne cite jamais et nulle part les appels aux meurtres ethniques ainsi que l’assaut donné aux synagogues et à divers magasins juifs du Marais.

 

Dans ces conditions de dissimulation des faits par la presse nationale et de grave dégradation objective de la sécurité de la communauté israélite, de plus en plus de membres de cette dernière envisagent très sérieusement l’émigration vers Israël.

 

Il faut rechercher sur Internet quelques publications courageuses, comme celle du site Slate pour savoir ce qu’il s’est réellement passé hier autour de la Bastille. Nous vous invitons également à lire, sur la page Facebook de la Ména, le témoignage édifiant de ce père de famille, Gérald Chiche, s’étant trouvé par hasard, avec femme et enfants, confronté à ces émeutiers :

 

 

Dernière minute

 

Trois obus de mortier tirés du territoire syrien ont explosé dans la partie israélienne du Golan, l’un d’entre eux atterrissant à l’entrée du kibboutz El Rom.

 

Ces projectiles ont déclenché à l’impact un violent incendie.

 

De nombreuses équipes de secours se sont rendues sur les lieux.

 

A 18h39, le porte-parole de Tsahal a affirmé que les premières constatations concernant l’incident font penser à une attaque délibérée.

 

Toute la zone est survolée par de nombreux chasseurs-bombardiers du Khe’l Avir et on entend des déflagrations de loin en loin.

 

On s’attend, à la rédaction, à une nouvelle riposte énergique de l’Armée israélienne dans les prochaines minutes ou les prochaines heures.

 

 

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